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cartouche prière avec création ptLes pauvres et la terre implorent :
Seigneur, saisis-nous par ta puissance et ta lumière
pour protéger toute vie, pour préparer un avenir meilleur,
pour que vienne ton Règne de justice, de paix, d’amour et de beauté.
Loué sois-tu.

§246

  Acheter le nécessaire, local,
en limitant l'impact sur la nature

Biodiversité : 3 gestes pour agir sans attendre

Oiseaux, mammifères, poissons, reptiles, amphibiens… En 44 ans, la faune sauvage a décliné de 60%, révèle WWF. Voici 3 gestes pour tenter d’y remédier, à son échelle.

Les scientifiques l’appellent la "sixième extinction". Une disparition massive des espèces sur Terre, imputable à l’Homme.
En cause, la surexploitation des espèces (surpêche ou braconnage) et la dégradation des habitats. Déforestation, agriculture intensive, extraction minière ou encore urbanisation contribuent à chasser les animaux de leur environnement. S’ajoutent les catastrophes climatiques, les maladies ou encore les espèces invasives (espèces venant d'ailleurs et qui progressivement prennent la place d'espèces locales car elles n'ont pas de prédateurs par exemple).

Pour contrer ce déclin, des solutions existent. Les quotas de pêche ou les aires protégées ont permis de sauvegarder certaines espèces, comme le thon rouge. Mais pour le directeur de WWF international, ces mesures au cas par cas ne suffisent pas. "L'approche doit changer, souligne-t-il auprès de l'AFP. Car nous voici face à une accélération sans précédent des impacts. (…) Cela signifie arrêter la déforestation, renverser la perte de biodiversité!" WWF réclame aux gouvernements et entreprises un "accord pour la nature", du même type que l’Accord de Paris sur le climat. En attendant, des petits pas concrets peuvent être adoptés pour la biodiversité, à l’échelle individuelle. En voici trois.

 1- Diminuer sa consommation de viande et de poisson
Quel est le problème?
La consommation de viande et l’élevage sont l’un des principaux dangers pour la biodiversité. Car pour nourrir ces bêtes, il faut de l’espace, de l’eau et de la nourriture, autant de besoins qui conduisent à la déforestation et à l’épuisement des ressources. Dans un rapport de 2013, la FAO estimait à 14,5% la part des émissions de gaz à effet de serre dues au secteur de l’élevage. Au total, 70% de la surface agricole mondiale sert au pâturage du bétail ou à la production de céréales pour l’alimentation animale.
La forêt amazonienne en pâtit particulièrement. Toujours selon la FAO, 91% des terres grignotées en Amazonie sont dédiées aux pâturages ou à la culture du soja. Même menace pour les poissons. Dans son rapport de 2018, la FAO considère qu’31% des stocks de poissons sont surexploités dans le monde.
Concrètement, on fait quoi?
La solution peut venir, au moins en partie, de l’alimentation,
                                                             en devenant végétarien (zéro viande ni poisson),
  ou flexitarien (consommation occasionnelle de chair animale) .
Ce changement de régime alimentaire a un réel impact environnemental.

2- Priorité aux aliments bio
Quel est le problème?
Pesticides, fongicides et herbicides éliminent les nuisibles des champs… mais ravagent aussi la biodiversité alentours. Insectes pollinisateurs, oiseaux et petits mammifères disparaissent. Les abeilles, par exemple, sont notamment victimes des produits néonicotinoïdes.
Concrètement, on fait quoi?
D’où l’intérêt d’une alimentation biologique pour la biodiversité,
                                                                                   et si possible de saison.
Et tant qu’à faire, autant bannir également les pesticides de son jardin.
               Dans les épiceries, les consommateurs peuvent refuser le soja et l’huile de palme,
ennemis numéro 1 des forêts tropicales et des orangs-outangs.
Pas facile, tant ils sont omniprésents dans les épiceries.

"Le soja, l’huile de palme et l’élevage bovin génèrent 80% de la déforestation opérée sur la planète aujourd’hui", confirme Marco Lambertini à l’AFP.

3- Haro sur le plastique
Quel est le problème?
Bouteilles, sachets, touillettes, pailles… le plastique à usage unique est partout. Chaque année, 8 millions de tonnes de déchets - en plastique essentiellement - échouent dans les océans, calcule l’ONG SurfRider. Ils mettent des années à se décomposer, libèrent des microparticules toxiques ou étouffent poissons et tortues.
Concrètement, on fait quoi?

Pour tous ces produits, il existe souvent un équivalent durable :
une tasse pour le café,
                   un cabas pour les courses

                                    ou encore des savons solides plutôt qu’un flacon de gel douche.

Source : Journal du Dimanche - le 30 octobre 2018 - Aude Le Gentil

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source : mtaterre.fr

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Nous sommes membres de l'Eglise catholique du Sahara, nous partageons notre souci de protection de notre planète et particulièrement de l’espace saharien. Il s’agit pour nous de transmettre à ceux qui nous suivent des conditions de vie dignes et heureuses.
Nous appuyons notre réflexion sur l'encyclique du pape François: LAUDATO SI' (2015).
Nous rêvons de créer un réseau de partages grâce à ce blog.

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